MACIF, maintenant tu m’insultes !?!

8 . 02 . 2023 | MACIF

Le 1 février, soit 4 ans jour pour jour après mon amputation, a eu lieu l’audience de plaidoirie qui clôture le premier round judiciaire.

Voici donc mon éditorial de cette séquence triste et pénible de ma carrière.

Mon avocate a plaidé en premier et bien plaidé en rappelant les grands principes du droit de la réparation intégrale et mettant en évidence la mesquinerie des offres de MACIF toujours moins-disante.

Puis ce fut le tour de Me LECLERE intervenant pour sa cliente la MACIF.

Bon, il a joué son rôle en défendant les conclusions qu’il avait déposées et bien sûr cherchant à limiter au maximum mes besoins donc mon indemnisation. Mais cela est son rôle et je le comprends malgré certains points assez délirants comme le fait de dire que la MACIF ne s’oppose pas au renouvellement de ma prothèse mais sans l’indemniser !
Voici ses écrits

Conclusions MACIF
c’est édifiant

 

Ce qui ne passe pas c’est :

Mais pire encore : les insultes d’un niveau de cours d’école primaire et bien loin de ce que Michel Audiard aurait dialogué avec élégance, humour et une réelle verve que j’aurais su saluer même à mes dépens.

Mais en réalité nulle verve ni panache en voici deux des exemples les plus marquants :

  • là je cite : « Monsieur Delayat possède un terrain sur lequel de trouve une maison, ou plutôt une masure« 
  • Sous couvert d’une citation de chanson un bon moyen pour arriver à dire : Monsieur Delayat produit de la piquette

J’espère sincèrement que cette attitude est une initiative purement personnelle de cet avocat et non guidée par des directives de sa cliente la MACIF.
Si tel est le cas et que les responsables de la MACIF ignorent ces agissements, je sais qu’ils suivent mes publications avec attention et que grâce à cette dernière ils réaliseront à quel point leur avocat envenime une situation déjà difficile.

Je reviens juste sur les soi-disant insultes que j’aurais pu proférer à l’encontre de la MACIF et vous invite à relire mes articles pour vous forger votre propre avis :

Certes le ton peut être acerbe, mais je ne pense pas avoir dépassé les bornes ni insulté, je me suis attaché à exposer des fait en publiant des documents officiels à l’appui de mes dires. Et si le ton est piquant c’est un peu en réaction à des faits et face à la lenteur de tout un système qui suit une procédure sans aucune considération des conditions dans lesquelles je dois vivre et travailler entre temps !

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